N'avions-nous pas l'été à franchir, comme un large Océan immobile; et moi simple, couché Sur les yeux et la bouche et l'âme de l'étrave, Aimant l'été, buvant ses yeux sans souvenirs, N'étais-je pas le rêve aux prunelles absentes Qui prend et ne prend pas, et ne veut retenir De ta couleur d'été qu'un bleu d'une autre pierre Pour un été plus grand, où rien ne peut finir ? |