Je suis celui qui entre et parle de la vraie vie
Dans les villes cristallisent des intelligences mortes
Des lois de désespoir soumettent à la servitude
Te transforment en homme-robot incapable de sentir
Seulement de produire sans discernement
Il faut détruire la société bâtie sur l’argent
On te prive des seules vraies richesses de l’homme
Des vents, des arbres, des fleuves, des neiges, du soleil
J’essaie de dire notre tragédie commune
Nous vivons des temps impurs et désespérants
Nous sommes la civilisation du sang et de la sève
Car la seule richesse de l’homme est dans son coeur
Un bouillonnement de sucs écarte les murs
Une force de vague gonfle notre front d’idéal
Un haussement de tête suffit pour briser le licol
Toutes les lois de l’univers sont inscrites en toi
Avec ce que tu sais tu gagneras des joies
Il faut vivre c’est la grande aventure du monde
L’envie de vivre s’élance de chacune de tes cellules
Pour te réveiller dans la chaleur de ton amour
Se fondant dans la symphonie du cosmos.
Dans les villes cristallisent des intelligences mortes
Des lois de désespoir soumettent à la servitude
Te transforment en homme-robot incapable de sentir
Seulement de produire sans discernement
Il faut détruire la société bâtie sur l’argent
On te prive des seules vraies richesses de l’homme
Des vents, des arbres, des fleuves, des neiges, du soleil
J’essaie de dire notre tragédie commune
Nous vivons des temps impurs et désespérants
Nous sommes la civilisation du sang et de la sève
Car la seule richesse de l’homme est dans son coeur
Un bouillonnement de sucs écarte les murs
Une force de vague gonfle notre front d’idéal
Un haussement de tête suffit pour briser le licol
Toutes les lois de l’univers sont inscrites en toi
Avec ce que tu sais tu gagneras des joies
Il faut vivre c’est la grande aventure du monde
L’envie de vivre s’élance de chacune de tes cellules
Pour te réveiller dans la chaleur de ton amour
Se fondant dans la symphonie du cosmos.
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