Combien d’aubes dans sa nuit ? Combien de paysages devinés, entr’aperçus dans la lueur d’un jour naissant, révélés déferlants musicaux, paysages larges, en attente lumineuse, en immensité tremblante, clarté riche d’envols, drue de promesses, ô cet espoir, cet éblouissement, ces paysages ouverts, puis vite si terriblement usés laminés érodés, engloutis par les vagues silencieuses de la nuit revenue, souveraine. |