(...) ces personnages vivent et déterminent nos comportements, au point que nous les prenons comme modèles de vie, la nôtre et celle des autres, et que nous nous comprenons très bien quand nous disons de quelqu'un qu'il a le complexe d'Œdipe, un appétit gargantuesque, un comportement de Don Quichotte, la jalousie d'un Othello, un doute hamlétique ou qu'il est d'un donjuanisme inguérissable. Et cela, dans la littérature, n'arrive pas seulement à des personnages, mais aussi à des situations, et à des objets. |