A la fin, il reste l'âme. Je n'oublie pas les trois ordres de Pascal que je fais miens. Dans l'indispensable triade corps-esprit-âme, je reconnais pleinement le rôle de base du corps et le rôle central de l'esprit. Mais du point de vue du destin d'un individu, encore une fois, c'est l'âme qui prime; elle qui est sa part la plus personnelle, donc la plus précieuse, l'état suprême de son être en quelque sorte. C'est à partir de cet état que chaque être est à même d'entrer en communion avec l'âme de l'univers.