Lorsqu'on occupe la maison d'un absent, qu'on dort dans son lit, mange dans son assiette, tripote ses livres, en les ouvrant à l'occasion pour en lire un petit bout, une espèce de compréhension singulière se fait jour peu à peu, pas éloignée de l'affection. Ou alors, quelle sorte d'homme est-ce là, qui accumule des livres sur les saints et les jardins japonais? |