Il avait une passion pour les cimes des arbres, les nuages et les plis des étoffes. Dans ces formes informes, il pouvait se laisser aller, se perdre dans ses pensées en un monde de lumière et d'obscurité, de nuages figés dans la peinture à l'huile, chiasros-curo, un monde où les gens ne s'imposaient pas à lui, car il y avait en lui quelque chose - difficile à définir- qui était brisé. Sa cordialité s'accompagnait toujours d'une certaine réserve, comme s'il restait toujours sur ses gardes, de crainte qu'on ne s'approche trop près de lui parce qu'il s'était montré trop aimable. |