Comme un organisme, un roman vit d’échanges multipliés : c’est le propos d’un personnage qui fait descendre le crépuscule et la fraîcheur d’une matinée qui rend soudain l’héroïne digne d’amour.
Et comme toute œuvre d’art, il vit d’une entrée en résonance universelle - son secret est la création d’un milieu homogène, d’un éther romanesque où baignent gens et choses et qui transmet les vibrations dans tous les sens.