ce fléchissement constant de ma pensée,
il faut l'attribuer non pas à un manque d'exercice,
de possession de l'instrument que je maniais,
de développement intellectuel;
mais à un effondrement central de l'âme,
à une espèce d'érosion, essentielle à la fois et fugace, de la pensée,
à la non-possession passagère des bénéfices matériels de mon développement,
à la séparation anormale de la pensée.