(...) en ce moment j'agrandissais ma vie. Et c'était merveilleux. Enfin, il se passait quelque chose, je me sentais vivre. Je ne m'usais pas. En tous cas, il existait une partie de moi qui ne se consumait pas. Et c'est pour ça que je me sentais réellement vivre. Je trouve qu'une existence humaine, même si elle dure très longtemps, n'a aucun sens si l'on n'a pas le sentiment de vivre. |