Vous étonnerai- je en vous disant qu'il y a même des jours où il ne me semble plus y avoir personne au lieu où je me tiens ? Une absence heureuse, c'est tout. (...) L'étrange est qu'il n'y a soudain pour moi plus rien à défendre, ni à pourfendre, ni à usurper, ni à conquérir. Toutes ces activités principales de notre époque et de notre état ne me parlent plus. Les jours ont leur pulpe. Et je la goûte simplement. Et pour la première fois de ma vie, je suis libre. |