- Comment vous appelez-vous ? - Corso. Et vous ? - Irène Adler. Il l'examina de haut en bas. Elle soutint son regard, impassible. - Ce n'est pas un nom. - Corso non plus. - Vous vous trompez. Je m'appelle Corso. L'homme qui court. (...) - Irène Adler..., répéta-t-il en feignant de chercher dans sa mémoire. La tache écarlate ? - Non, répondit-elle calmement. Un scandale en Bohème... Elle sourit elle aussi et son regard était comme un trait d'émeraude dans l'obscurité du couloir. La Femme, mon cher Watson. Corso fit mine de se frapper le front, comme s'il venait de comprendre. - Élémentaire, dit-il. Et il eut la certitude qu'ils se reverraient. |